I- Mesurer les déplacements passés des plaques
3) L’apport des données volcaniques
Conclusion :
Des alignements volcaniques situés en domaine continental ou océanique, dont la position ne correspond pas à des frontières de plaques, sont la trace du déplacement de plaques lithosphériques au-dessus d’un point chaud fixe.
Les plaques sont bien en mouvement.
II- Mesurer les déplacements actuels des plaques
III- Les limites des plaques et leur nature
1) Les marqueurs sismiques
2) Les marqueurs thermiques et pétrologiques
Conclusion :
Les caractéristiques thermiques des zones de divergence et des zones de convergence présentent des différences notables, qui permettent de les utiliser comme marqueurs de ces frontières de plaques.
Remarque : Il existe aussi des indices pétrologiques qui sont utilisés pour différencier ces frontières.
Basaltes et gabbros sont typiques des zones d’expansion océanique.
Andésites, diorites et rhyolites sont typiques des zones de subduction.
Le granite se forme dans des contextes de convergence (subduction ou collision) à la base ou au sein de la croûte continentale.
L’ensemble des plaques constitue la lithosphère. La lithosphère (rigide) se déplace en glissant sur l’asthénosphère (ductile) : c’est la tectonique des plaques.